Les rames 2001 Citadis 401 Alstom, opérant sur la ligne 1, et 2043 Citadis 302 Alstom, opérant sur la ligne 4, sens 4a, vont se croiser à la station « Louis Blanc », le samedi 24 septembre 2016. Copyright : Edouard Paris.

Les étudiants de l’UFR Droit et Science politique de Montpellier, qui débarquent des trains en gare de Montpellier Saint-Roch, ont le choix, depuis la rentrée universitaire 2016, entre la ligne 1 et la ligne 4 de tramway pour rejoindre leur faculté desservie par la station « Louis Blanc », cette dernière étant située à 243 mètres à pied de l’entrée principale de l’UFR, rue de l’Ecole-Mage.

Ligne 1 :
Station « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, quai direction « Mosson », côté temple Maguelone.

Distance jusqu’à la station « Louis Blanc » : 1,580 km.

Stations desservies : « Comédie », « Corum » et « Louis Blanc ».

Temps de parcours moyen : 6 minutes 30 secondes.

Le plus :
La fréquence : nombre de départs prévus entre 7h30 et 8h45 du lundi au vendredi à partir de la station « Gare Saint-Roch », rue Maguelone : 19 (7h31, 7h34, 7h37, 7h40, 7h44, 7h48, 7h51, 7h54, 7h57, 8h00, 8h05, 8h10, 8h15, 8h20, 8h25, 8h30, 8h35, 8h40, 8h45…).

Le moins :
Rames pouvant être surchargées.

Ligne 4 :
Station « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, quai direction « Garcia Lorca 4a », côté square Planchon.

Distance jusqu’à la station « Louis Blanc » : 1,810 km.

Stations desservies : « Observatoire », « Saint-Guilhem – Courreau », « Peyrou – Arc de Triomphe », « Albert 1er Cathédrale » et « Louis Blanc ».

Temps de parcours moyen : 7 minutes 30 secondes.

Le plus :
Grande probabilité de trouver des places assises disponibles aux heures de pointe.

Le moins :
La fréquence : nombre de départs prévus entre 7h30 et 8h46 du lundi au vendredi  à partir de la station « Gare Saint-Roch », rue de la République : 10 (7h34, 7h42, 7h50, 7h58, 8h06, 8h14, 8h22, 8h30, 8h38, 8h46…).

Pour celles et ceux qui préfèrent la marche à pied pour garder la ligne et la forme, la distance entre la station « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, et l’entrée principale de l’UFR, rue de l’Ecole-Mage, n’est que de 1,050 km, parcourable en un quart d’heure en passant par la place de la Comédie, la rue de la Loge, la place des Martyrs-de-la-Résistance, la rue Cambacéres et la rue de l’Université.

Info : Edouard Paris

Dans l’info précédente publiée le jeudi 6 octobre 2016, il est question d’une ouverture du contournement ferroviaire de Nîmes et Montpellier (CNM), le vendredi 6 octobre 2017, et de la mise en service de la gare TGV Montpellier Sud de France, probablement le même jour.

Les édiles de Montpellier Méditerranée Métropole, tout comme les élus de l’ex-région Languedoc-Roussillon, n’ont ils pas eu les yeux plus gros que leur ventre en décidant de doter la ville de Montpellier d’une seconde gare, a fortiori excentrée, à l’instar de l’équipe dirigeante de la librairie Sauramps à Montpellier, qui avait l’espoir de doubler son chiffre d’affaire en ouvrant une surface de vente dans le complexe ludico-commercial Odysseum, avec la bénédiction du visionnaire mégalomaniaque aujourd’hui disparu, mais qui désormais s’en mord les doigts.

En octobre 2017, le décor du côté de chaque gare devrait être le suivant :
Gare de Montpellier Saint-Roch :
– desserte par quatre lignes de tramway, cinq lignes de bus urbaines et les taxis,
– desserte par des TER, des trains Intercités et des TGV,
– desserte routière difficile et aucune piste cyclable,
– centre-ville facilement accessible à pied.

Gare TGV de Montpellier Sud de France :
– Outre les taxis, desserte par une navette routière à partir de la place de France en correspondance avec la ligne 1 de tramway dans l’attente de l’extension de cette même ligne 1 à l’horizon 2020 dans le prolongement du terminus « Odysseum » ou de la réalisation d’un téléphérique urbain depuis la place de France, cette dernière solution étant de loin la moins onéreuse,
– desserte par des TGV exclusivement, les trains de fret n’acceptant pas les voyageurs à bord,
– desserte routière principalement par le sud-est, compte tenu des travaux à réaliser (élargissement d’un pont actuellement à voie unique avec passage alterné des véhicules) pour franchir l’actuelle A9 en venant d’Odysseum,
– s’y rendre à pied (5 km environ depuis le centre-ville) sera sans aucun doute le mode de déplacement le moins usité.

Conséquences d’ores et déjà prévisibles de l’ouverture de la gare TGV Montpellier Sud de France dès le mois d’octobre 2017 :
Gare de Montpellier Saint-Roch :
– baisse attendue du chiffre d’affaires de l’ensemble des commerces situés dans et autour de la gare en fonction du nombre de TGV « transférés » vers la gare TGV de Montpellier Sud de France,
– fermeture possible de guichets de loueurs de véhicules particuliers, la clientèle étant principalement constituée de voyageurs arrivant en TGV.

Gare TGV de Montpellier Sud de France :
– l’ouverture et l’équilibre financier de commerces et de guichets de loueurs de véhicules particuliers dans cette nouvelles gare dépendront grandement du nombre de TGV qui la desserviront,
– les TGV ne seront pas en correspondance avec les TER et les trains Intercités,
– le gain de temps gagné sur la liaison de et vers Paris en TGV sera largement effacé par le temps nécessaire pour aller ou venir du centre-ville de Montpellier, quel que soit le mode de transport utilisé, deux roues motorisés ou non compris,
– les TGV ne desserviront pas la gare de Nîmes centre et les Nîmois devront certainement patienter jusqu’à la fin de l’année 2020 avant d’être pourvus d’une gare TGV à Manduel à 12 kilomètres du centre-ville de la préfecture gardoise.

Info : Edouard Paris

A la suite d’une information mise en ligne par le site voussaveztout.com, le samedi 15 octobre 2016, non relayée par le site tam-voyages.com, c’est avec la louable intention de photographier des rames de la ligne 1 circulant sur une petite partie de la ligne 3 et des rames de la ligne 3 roulant sur une petite partie de la ligne 1, que le webmestre est allé assister, ce dimanche 16 octobre 2016, au départ de la seconde édition de la course à pied des 10 km de Montpellier prévu à 10h00, avenue du Professeur Etienne-Antonelli, au droit du quai 4a de la station « Georges Frêche – Hôtel de Ville » de la ligne 4 de tramway.

Monté à bord de la rame 2079 Citadis 402, direction « Rives du Lez », terminus provisoire de la ligne 3 durant une grande partie de la matinée de ce dimanche 16 octobre 2016, le second écran affichait « ATTES-BUS A PLACE DE L’EUROPE ».

A l’approche puis à l’arrivée au terminus provisoire « Rives du Lez » , un message vocal annonce que tout le monde doit descendre de la rame, mais ce n’est qu’après être sortis de la rame que les voyageurs, qui avaient l’intention d’emprunter la navette routière desservant Lattes et Pérols à partir d’un arrêt de bus « Place de l’Europe », sont invités à remonter à bord de la même rame pour rejoindre la station « Place de l’Europe », les rames de la ligne 1 et de la ligne 4 de tramway ne desservant provisoirement pas leur station dédiée « Rives du Lez ».

Arrivés à la station « Place de l’Europe », les mêmes voyageurs devant prendre la navette routière ne sont pas attendus par un comité d’accueil qui aurait dû les orienter vers un arrêt de bus précis. Au petit bonheur la chance, les uns se dirigent vers un arrêt de bus situé à droite en traversant la rue Poséidon, les autres, toujours après avoir traversé la rue Poséidon, vers un arrêt situé à gauche. A l’arrivée de la navette routière dont la girouette indiquait « SPECIAL », sans aucune précision de direction, car il était prévu une navette vers Odysseum « Place de France » en correspondance avec les rames de la ligne 1 et une navette vers Lattes et Pérols en correspondance avec les rames de la ligne 3, les personnes qui s’étaient aventurées vers l’arrêt de gauche sont revenues précipitamment vers l’arrêt de droite, comme dans un mouvement de panique.

Du côté de la ligne 4 de tramway, la section « Garcia Lorca » – « Pompignane », via les stations « La Rauze », « Georges Frêche – Hôtel de Ville », « Rives du Lez » et « Place de l’Europe », était neutralisée dans les deux sens 4a et 4b une bonne partie de la matinée. Pourtant, le webmestre a pu observer une rame quittant le terminus « Garcia Lorca » avec la girouette indiquant la direction « Georges Frêche – Hôtel de Ville » dans le sens 4b, avec quelques voyageurs à bord. A la station « Garcia Lorca », côté quai 4a, ce n’est que deux minutes avant l’arrivée de la rame, qui avait fait son tour en direction de la station « Georges Frêche – Hôtel de Ville » avant de rebrousser chemin, que le tableau électronique d’information a indiqué « 4a Pompignane 2mn » alors que quelques secondes avant il affichait « 4a Pas de service ».

Vers 10h40, avant de regagner son domicile par la ligne 3, le webmestre, qui souhaitait prendre plusieurs photos à la station « Gare Saint-Roch », a laissé filé une rame direction « Mosson », mais la rame direction « Juvignac » qui était annoncée « Proche » n’est arrivée qu’une douzaine de minutes plus tard. Sur le quai d’en face, le tableau électronique d’information mentionnait des rames de la ligne 3 vers « Lattes Centre », mais les rames qui se présentaient affichaient le nom du terminus provisoire « Rives du Lez ».

Info : Edouard Paris

Dans la police :

Info : Edouard Paris

Face à la multiplication des vols par ruse de codes et de cartes bancaires au préjudice de la clientèle du tramway à Montpellier (Source : midilibre.fr en date du lundi 28 novembre 2016), TaM Montpellier 3M, par la voix de son directeur de production, annonçait que des autocollants rappelant les règles de discrétion pour la composition du code de carte bancaire seraient apposés dans les stations de tramway à compter du lundi 28 novembre 2016.

Vérification faite ce mercredi matin 30 novembre 2016, à moins qu’ils aient été déjà arrachés, aucun autocollant d’avertissement n’avait été placé sur les distributeurs automatiques de titres de transport dans les stations où les délinquants sévissent apparemment le plus, telles les stations « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, et « Comédie », toutes deux communes aux lignes 1 et 2.

Quant au distributeur automatique de titres de transports TaM Montpellier 3M, situé au niveau supérieur de la gare Montpellier – Saint-Roch, son écran affiche des informations contradictoires. Sur le milieu de l’écran, un avertissement informe que l’appareil ne rend pas la monnaie et qu’il est nécessaire de faire l’appoint, mais tout en haut de l’écran à droite il est inscrit « Cet appareil rend la monnaie ».

Info : Anje34 et Edouard Paris

Les autocollants rappelant les règles de discrétion pour la composition du code de carte bancaire promis par le directeur de production de TaM Montpellier 3M, Xavier Dupuy, le lundi 28 novembre 2016, n’avaient pas encore fait leur apparition sur les distributeurs automatiques de titres de transport, le dimanche 11 décembre 2016, comme ici à la station « Gare Saint-Roch » des lignes 1 et 2 de tramway. Copyright : Edouard Paris

Face à la recrudescence des vols par ruse de codes et de cartes bancaires au préjudice des usagers du tramway à Montpellier (article mis en ligne par Midi Libre, le lundi 28 novembre 2016), un phénomène dont le quotidien régional s’est fait l’écho à plusieurs reprises (article mis en ligne le samedi 25 juin 2016 notamment), le directeur de production de TaM Montpellier 3M, Xavier Dupuy, avait promis, le 28 novembre dernier, que des autocollants rappelant les règles de discrétion pour la composition du code de carte bancaire seraient apposés.

Près de deux semaines après cette déclaration, le webmestre a pu constater, ce dimanche 11 décembre 2016, que les autocollants promis n’avaient pas encore fait leur apparition sur les distributeurs automatiques de titres de transport dans les stations les plus touchées par les vols par ruse, à savoir : « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, commune aux lignes 1 et 2, « Gare Saint-Roch », rue de la République », commune aux lignes 3 et 4, et « Comédie », commune aux lignes 1 et 2 de tramway.

Au vu de son inaction, TaM Montpellier 3M donne l’amère impression de minimiser le problème alors que les personnes victimes de ces vols par ruse ont l’intention de voyager en règle à bord des tramways et bus du réseau.

Ajout du lundi 12 décembre 2016 : selon France Bleu Hérault, 1700 plaintes pour des vols de cartes bancaires, opérés dans les deux stations « Gare Saint-Roch », auraient été enregistrées depuis le début de l’année 2016.

Info : Edouard Paris

A la rubrique « TaM Montpellier 3M, c’est souvent de l’à-peu-près« , les autocollants promis par le directeur de production de TaM Montpellier 3M, le lundi 28 novembre 2016, ont enfin fait leur apparition sur des distributeurs automatiques de titres de transport en dessous du clavier de composition du code de carte bancaire , mais pas dans les stations de tramway où ils seraient les plus utiles, savoir : « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, « Gare Saint-Roch », rue de la République, et « Comédie », où les pickpockets font de nombreuses victimes quotidiennement.

L’avertissement inscrit sur l’autocollant est en langue française, alors que le message des plaques gravées invitant à faire l’appoint est porté en français et en anglais.

Toujours en ce qui concerne l’autocollant, Il ne faut pas être myope pour lire la seconde ligne du message.

Le président de TaM Montpellier 3M justifiera de l’absence de ces autocollants dans les trois stations précitées pour la ou le(s) bonne(s) raison(s) suivante(s) :
– les autocollants seraient systématiquement arrachés (1),
– pour ces stations nous avons prévus des plaques gravées plus solides (1),
– les distributeurs automatiques de titres de transport des stations « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, et « Comédie » vont être changés dans un mois, il n’est donc pas nécessaire d’apposer un autocollant ou une plaque gravée sur ces DATT pour faire des économies (1).

(1) Entourez la  (les) raison(s) qui vous semble(nt) la (les) plus évidente(s).

Info : Anje34 et Edouard Paris

Ce vendredi 16 décembre 2016 marque le dixième anniversaire de l’inauguration de la ligne 2 de tramway de Montpellier organisée le samedi 16 décembre 2006.

La date fut-elle bien choisie ? On peut en douter car le même jour et à la même heure la première section de la ligne T3 de Paris intra-muros était inaugurée entre le pont du Garigliano et la porte d’Ivry. Conséquence, sur TF1 un seul reportage sur Paris et une petite phrase sur Montpellier avant de passer au sujet suivant.
Cela fait longtemps que l’équipe de tramwaydemontpellier.net et du site qui l’a précédé estime que les communicants ne font faire que des « conneries » aux élus qui sont déjà bien assez grands pour en faire tout seuls.

Du côté de l’inauguration montpelliéraine, une estrade avait été montée sur la place Auguste-Gibert devant les colonnades grecques de la gare Montpellier Saint-Roch.
Avant de rejoindre cette place, les invités étaient répartis dans différentes rames Citadis 302 Alstom venant de l’est et de l’ouest de la ligne 2 :
⦁ de Jacou : rames 2043, à bord de laquelle avait pris place Georges Frêche, et 2047,
⦁ de Via Domitia : rame 2063,
⦁ de Notre-Dame de Sablassou : rame 2059,
⦁ de Saint Jean de Vedas-Centre : rame 2042,
⦁ des Sabines : rames 2046.
A 10h20, à chaque bout de la ligne des rames se sont élancées vers la gare SNCF, deux circulant à contre-voie, la 2059 venant de l’est depuis Notre-Dame de Sablassou et la 2046 venant de l’ouest depuis les Sabines.
A 11h00, c’est sous une forte pluie que les rames sont arrivées à la hauteur de la gare Saint-Roch. Le ruban fut coupé rapidement après les vocalises d’une castafiore locale et quelques gesticulations d’acrobates.
Point de discours sur l’estrade, Georges Frêche et ses invités préférant se replier sur l’Opéra-Comédie à l’abri de la pluie et des manifestants. A l’abri, bien au chaud, le ventre bien calé par le copieux buffet offert par les contribuables.
Les discours nous apprendront qu’une troisième ligne de 22,4 km avec 25 rames décorées de poissons était en projet.
La ligne 2 a été ouverte au public le jour même de l’inauguration,  de 14h30 à 22h00 ainsi que le dimanche 17 décembre 2006 entre 7h00 et 20h00. L’accès à bord des rames était gratuit mais il fallait avoir en main un ticket spécial à valider à chaque montée.
La ligne 2 entrera en service commercial dès le lundi 18 décembre 2006 avec une amplitude de service de 7h00 à 20h00. Il faudra attendre le lundi 8 janvier 2007 pour que l’amplitude du service augmente de sept heures, soit de 5h00 du matin à 1h00 du matin le lendemain.

Profitons du dixième anniversaire de la ligne 2 pour examiner quelques points et en tirer des enseignements :
⦁ Les manifestants présents à la cérémonie d’inauguration, en l’occurrence Les Gardiens de la Gardiole, étaient opposés à un centre de stockage des déchets ultimes (CSDU) sur la commune de Fabrègues, une des trente-et-une commune de l’agglomération, un projet appuyé par Georges Frêche, président de Montpellier Agglomération et président de la région Languedoc-Roussillon, projet qui fut par la suite abandonné.
⦁ L’Opéra -Comédie transformé en bunker par le pouvoir politique avec l’aide de la police. Même des personnes munies d’une invitation n’ont pas pu y pénétrer.
⦁ La ligne 2 a changé de circuit depuis le samedi 7 avril 2012 en passant par la Comédie en tronc commun avec la ligne 1 et a abandonné l’inutile boucle du Lez reprise en partie par la ligne 4 de tramway le même jour. Le passage par la Comédie avait été demandé par le Collectif Tramway mais refusé alors par les élus qui déclaraient « 2 lignes à la Comédie ce n’est pas possible !!! »
⦁ Malgré ses terminus en « cul de sac » la ligne 2 assure un trafic essentiel pour éviter la paralysie de l’agglomération aujourd’hui métropole. La densification des habitations y est aussi pour quelque chose.
⦁ Le problème majeur semble venir du choix des rames avec des bogies fixes sur une ligne équipée de nombreuses courbes de faibles rayons, préjudiciables à la durée de vie des rails. Les rames Citadis 302 Alstom sont réputées pour être des « bouffeuses de roues » ce qui engendre des coûts d’entretien et de fonctionnement élevés.

Les trois premiers points ci-dessus soulignent la mauvaise santé de la démocratie locale, la dérive autoritaire et méprisante des élus.

Selon le magazine d’information de la métropole (mmmag) du mois de décembre 2016, en page 7, la ligne 2 enregistrerait 45.000 voyages quotidiens. Le dossier de presse remis le samedi 16 décembre 2006 annonçait en page 10 : « Dès sa mise en service, le trafic prévu est de 52.000 voyageurs par jour ». Apparemment, les programmes immobiliers qui ont été réalisés ces dix dernières années le long et à toute proximité de cette ligne 2 et son accès plus direct en centre-ville de Montpellier n’ont pas réussi à doper sa fréquentation.

Pour fêter les dix ans de la ligne 2, la rame 2099 Citadis 402 Alstom multilignes, qui opère sur la ligne 1 ou sur la ligne 3, a revêtu un pelliculage intégral spécial anniversaire. Paradoxalement, cette rame ne devrait pas être amenée à circuler sur la ligne 2 dans la mesure où à son bord on ne trouve que « les thermomètres » ou « relevés des arrêts » des lignes 1 et 3 au-dessus des portes à double vantail.

Info : Michel Bozzola et Edouard Paris

En raison de la multitude de vols par ruse de codes et de cartes bancaires, un phénomène qui sévit depuis de nombreux mois principalement aux stations de tramway « Gare Saint-Roch », rue Maguelone et rue de la République, et « Comédie », dont TaM Montpellier 3M a seulement pris la mesure de l’ampleur à la fin du mois de novembre 2016, le directeur de production de cette société annonçait que des autocollants rappelant les règles de discrétion pour la composition du code de carte bancaire seront apposés sur les distributeurs de titres de transport (DATT) et qu’il sera procédé au remplacement progressif des DATT de la ligne 1 dès janvier 2017, permettant le paiement sans contact, avec des claviers mieux protégés. Le lundi 12 décembre, le président de TaM Montpellier 3M déclarait qu’à la place des autocollants, trop faciles à arracher selon lui, il sera appliqué une plaque gravée sur chaque DATT. Le mercredi 14 décembre 2016, anje34 constatait que des autocollants avaient été apposés sur les DATT de quelques stations de tramway. Le samedi 7 janvier 2017, le webmestre a quant à lui remarqué que la totalité des DATT de la ligne 2 du terminus « Jacou » à la station « Corum » ont reçu leur plaque gravée avec l’inscription « COMPOSER VOTRE CODE à l’abri des regards indiscrets », mais tant à la station « Comédie » qu’à la station « Gare Saint-Roch », communes aux lignes 1 et 2 de tramway, les plus concernées par les vols par ruse, aucune plaque gravée appliquée sur les DATT n’était visible, sans doute dans la perspective du remplacement de ces DATT dans le courant de ce mois de janvier. En attendant, la clientèle tramway des stations « Gare Saint-Roch », rue Maguelone et rue de la République, et « Comédie » est informée de la présence possible de pickpockets par un message défilant sur les tableaux électroniques d’information en station et par un message vocal dans les rames à l’approche de ces mêmes stations.

Pour l’anecdote, une affiche « Burger King » centre commercial Odysseum terminus ligne 1 « Vous êtes sur la bonne voie » a été placée à la station « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, quai direction « Mosson » terminus nord-ouest de la ligne 1, soit dans le sens opposé de ce nouvel établissement de restauration rapide très attendu par le tout Montpellier.

Info : Edouard Paris

Les rames 2044 et 2049 Citadis 302 Alstom, opérant sur la ligne 4, se croisent à la station « Gare Saint-Roch », rue de la République à Montpellier, le samedi 11 décembre 2016 à 14h01. Copyright : Edouard Paris

A la suite de la mise en ligne par tramwaydemontpellier.net d’une info intitulée : « Une moyenne de 15.947 voyageurs par jour sur la ligne 4 entièrement bouclée entre le 2 juillet et le 31 décembre 2016« , le vendredi 6 janvier 2017, le quotidien Midi Libre emboîte le pas et titre dans son édition Montpellier et sa région du mardi 17 janvier 2017, page 2, à la rubrique « La photo » : « Une fréquentation de la ligne 4 largement inférieure aux prévisions« .

C’est sûr que ça ne fait pas plaisir aux édiles locaux et aux cadres de TaM Montpellier 3M, mais ils faut bien qu’ils se mettent dans la tête, notamment ceux qui ont raté le début de l’histoire, que la ligne 4 de tramway n’est que le résultat d’un rafistolage improvisé à la va-vite présenté le vendredi 9 juillet 2010, jour du soixante-douzième et dernier anniversaire de Georges Frêche.

Avec un bout de l’ancien tracé de la ligne 2 entre « Corum » et « Place de l’Europe » , via Les Aubes, déjà peu fréquenté en dehors des heures d’entrée et de sortie des élèves du Lycée Jean-Mermoz en période scolaire, et une section dédiée à l’origine à la troisième ligne de tramway entre la rue des Payroliers et la place Georges-Frêche, via l’avenue des Prés-d’Arènes et la rue de Saint-Hilaire, il était impossible de faire des miracles.

Les deux sections précitées n’auraient jamais dû voir le jour. L’argent investit en dépit du bon sens pour leur réalisation aurait été plus utile à la construction d’une branche de la ligne 1 entre la colonne Saint-Eloi et Agropolis, mais à vouloir une ligne 2, la plus longue de France fin 2006, pour dépasser de quelques centaines de mètres la ligne A du tramway d’Orléans ouverte le lundi 20 novembre 2000, et le réseau de tramways le plus étendu de France dès 2012 au nombre de kilomètres de voies, après mise en service de la ligne 3 empruntant l’avenue des Prés-d’Arènes, le soi-disant visionnaire a dilapidé des dizaines de millions d’euros qui font cruellement défaut aujourd’hui pour financer la construction de la ligne 5.

Info : Edouard Paris

Le panneau « Démarrage des travaux » de l’ensemble architectural « Belaroia » à Montpellier, face au nouveau parvis de la gare Saint-Roch, à l’angle des rue Alexandra David-Néel et Jules-Ferry, a été installé au mois de mai 2016.

Sans doute pour conjurer le mauvais sort pour cause de recours à répétition contre le permis de construire, le média en ligne e-Métropolitain a publié un article, le mardi 17 janvier 2017, qui laisse supposer que les travaux ont réellement commencé.
Extraits :
« On ne pourra pas le rater : le Belaroïa, « bijou » en occitan est en train de pousser au cœur de Montpellier… »
« Linkcity, et la société Valroch* (*société de projet composée de Valotel et de la Caisse des Dépôts) ont lancé les travaux de réalisation de ce nouvel ensemble immobilier multi-fonctionnel en plein cœur de Montpellier… »

Ce samedi 21 janvier 2017, le site de la construction est toujours occupé par le seul panneau « Démarrage des travaux » illustré par un visuel de ce programme immobilier signé par l’architecte marseillaise Manuelle Gautrand qui doit comprendre après achèvement, fin 2018, un socle sur 2 niveaux avec une brasserie en rez-de-chaussée et un centre d’affaires en R+1, une partie centrale sur 5 niveaux (R+2 à R+6) avec un hôtel 4 étoiles de 102 chambres et un hôtel 3 étoiles 80 chambres, et une partie haute sur 4 niveaux (R+6 à R+10) avec 12 logements et des niveaux de sous-sol pour le stationnement.

À suivre..

Info : Edouard Paris

Les distributeurs automatiques de titres de transport (DATT) de dernière génération équiperont-ils les stations « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, et « Comédie », communes aux lignes 1 et 2 de tramway, d’ici au mardi 31 janvier 2017 ?

Le lundi 28 novembre 2016, le quotidien Midi Libre relayait les propos du directeur de production de TaM Montpellier 3M dans ces termes : « Pour sécuriser les machines aux arrêts, il annonce que, dès ce lundi 28 novembre, des autocollants rappelant les règles de discrétion pour la composition du code de carte y seront apposés. Et le remplacement progressif des distributeurs (ceux de la ligne 1 dès janvier) permettant le paiement sans contact, avec des claviers mieux protégés. »

Le lundi 12 décembre 2016, c’est au tour du président de TaM Montpellier 3M d’annoncer sur les ondes de France Bleu Hérault : « L’installation sur la ligne 1, dès le mois de janvier 2017, de nouveaux distributeurs de titres de transport permettant notamment le paiement sans contact pour remplacer ceux qui équipent les stations de cette ligne 1 depuis sa mise en service commercial il y a seize ans. »

Dans un article du média en ligne e-métropolitain, publié le mardi 24 janvier 2017, tout un chacun peut lire : « Certaines stations en sont déjà équipées, d’autres vont l’être dans les prochaines semaines. Selon la TaM 3M, quelque 60 nouvelles bornes de paiement direct, sans contact vont équiper les stations de la ligne 1. »

Si comme l’a constaté le webmestre, la station de la ligne 1 « Place Albert 1er – Saint-Charles » est dotée depuis quelques temps déjà de ces nouveaux DATT avec paiement sans contact, il faut toutefois se poser la question de savoir pourquoi TaM Montpellier 3M n’a pas commencé à équiper en priorité les stations les plus touchées par les vols par ruse de codes et de cartes bancaires, c’est-à-dire « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, et « Comédie », un phénomène qui s’est amplifié au cours du dernier trimestre 2016 ainsi que l’ont souligné les services de l’Etat, le jeudi 26 janvier 2017.

Info : Edouard Paris

Les distributeurs automatiques de titres de transport (DATT) de dernière génération, tant attendus du côté des stations « Comédie » et « Gare Saint-Roch », où les pickpockets ont pris la mauvaise habitude de sévir, ont été installés au cours de la nuit du vendredi 3 au samedi 4 février 2017.

Ces DATT de marque « Xerox » sont au nombre de trois à la station « Comédie », de quatre à la station « Gare Saint-Roch », rue Maguelone, propres aux lignes 1 et 2 de tramway et de deux à la station « Gare Saint-Roch », rue de la République, commune aux lignes 3 et 4 de tramway.

Tant le site TaM Montpellier 3M que sa page Facebook et son compte Twitter sont pris de court par Tramwaydemontpellier.net qui annonce la bonne nouvelle en exclusivité.

Paradoxalement à la station « Corum », les deux premiers DATT de dernière génération ont été installés sur les quais de la ligne 2 alors que les quais communs aux lignes 1 et 4, beaucoup plus fréquentés, n’en étaient pas encore dotés ce samedi 4 février 2017.

En dépit de la présence de nouveaux DATT, qui acceptent également les paiements sans contact, tout un chacun doit rester extrêmement vigilant tant en station que dans les rames de tramway car les pickpockets sont toujours prompts à détourner votre attention.

Info : Anje34 et Edouard Paris

A Montpellier, le lancement du chantier « Hôtel Saint Roch – Belaroia » semble se préciser au vue de plusieurs indices photographiés sur place, le jeudi 9 février 2017.

En dépit de plusieurs recours contre le permis de construire, qui, il faut le rappeler, ne sont pas suspensifs, le maître d’ouvrage du programme immobilier en question a sans doute préféré jouer la carte de la prudence jusqu’à leur extinction avant d’engager des millions d’euros dans les travaux de construction.

Tout le contraire de ce qui s’est passé du côté de la future gare TGV Montpellier Sud de France où les travaux ont démarré au début du mois d’octobre 2015, soit trois mois après la signature de l’arrêté de permis de construire par le préfet, et se poursuivent comme si de rien n’était malgré le dépôt de plusieurs recours.

Info : Anje34 et Edouard Paris

Les piétons, qui empruntent le trottoir côté nord-est du Pont-de-Sète à Montpellier, doivent changer leur habitude depuis peu, chantier de construction du complexe architectural « Hôtel St-Roch – Belaroia » oblige. Très certainement pour un long moment, l’achèvement des travaux de ce nouvel ensemble, faisant face au nouveau parvis de la gare de Montpellier Saint-Roch, étant programmé à la fin de l’année 2018 si le calendrier est respecté.

Comme il l’a fait pour le parking Saint-Roch, le blog Tramwaydemontpellier.net suivra la progression du chantier longé par le tronc commun des lignes 2 et 4 de tramway, rue Alexandra David-Néel, dans la mesure où aucune construction d’un prolongement de ligne de tramway ou d’une nouvelle ligne de tramway n’est prévue pendant la durée des travaux du programme immobilier « Hôtel St-Roch – Belaroia ».

Si la desserte TGV de la future gare Montpellier Sud de France demeure faible, quatre TGV par jour à son ouverture au printemps 2018, la réalisation du prolongement de la ligne 1 entre le terminus « Odysseum » et la nouvelle gare, pour un coût estimé à 40 M€ environ, ne s’impose pas. Concernant la ligne 5, les travaux de construction de la branche nord-est en mode tramway sur fer, entre la colonne Saint-Eloi et Agropolis, devraient débuter au mieux en 2019 ou 2020. Pour la branche ouest de cette même ligne 5, entre Lavérune et le centre-ville de Montpellier, au vu de l’engouement actuel pour les bus électriques, il y a de fortes chances qu’on se dirige plutôt vers une ligne de bus à haut niveau de service (BHNS) exploitée avec des bus articulés à propulsion 100% électrique.

Info : Anje34 et Edouard Paris

Dans un article mis en ligne par laMarseillaise.fr, le lundi 13 février 2017, le promoteur du complexe architectural « Hôtel Saint-Roch – Belaroia » déclare : « On va commencer le terrassement, reprendre le mur de soutènement de la rue Pagézy, creuser le futur parking à un niveau moins 1. Il y aura 41 places de stationnement, dédiées à l’immeuble. »

Quatre photos réalisées le vendredi 24 février 2017 accréditent ses propos. On entre enfin dans le concret.

Info : Anje34

A Montpellier, le chantier « Hôtel St-Roch – Belaroia », coincé entre la rue Pagézy, la rue Jules-Ferry, la rue Alexandra David-Néel et le Pont-de-Sète, verra passer une noria de camions jusqu’à la fin de l’année 2018 si le calendrier des travaux est respecté.

Les camions circulent sur un trajet bien défini entre le boulevard Berthelot et le chantier proprement dit tant à l’aller qu’au retour.

A l’aller, les camions, arrivant du boulevard Berthelot depuis la place du 8 Mai 1945, tournent à gauche pour emprunter dans l’ordre l’avenue de Maurin, la rue Catalan, l’ancien parking de surface de la gare Saint-Roch où un cheminement spécifique a été délimité, la partie sud-est de la rue du Grand Saint-Jean, la rue Pagézy et la rue Jules-Ferry où se trouve l’entrée du chantier.

Au retour, les camions quittent le chantier par la rue Levat, retrouvent la rue du Grand Saint-Jean qu’ils remontent avant de tourner à gauche pour prendre la rue Rondelet et continuer jusqu’au boulevard Berthelot via la place Rondelet et la rue Ernest-Michel.

Un point positif, le trajet des camions ne franchit pas les voies communes aux lignes 2 et 4 de tramway.

Info : Anje 34

Le reportage photo ci-après donne un aperçu de la progression du chantier « Hôtel St-Roch – Belaroia » , face au nouveau parvis de la gare de Montpellier Saint-Roch, au cours du mois de mars 2017.

A titre d’information, outre deux hôtels, cet ensemble architectural comprendra une résidence de douze appartements d’exception située en derniers niveaux, du septième au dixième étages. Ces appartements bénéficieront de vues panoramiques en direction de la mer, sur le Pic-Saint-Loup ainsi que sur l’Écusson. Chaque appartement disposera de stationnements privatifs en sous-sol.

Voici une idée des prix des cinq appartements disponibles à ce jour, samedi 1er avril 2017, sur les douze commercialisés :
– Appartement 2 pièces 45m² 239 000 €
– Appartement 3 pièces 64m² 354 000 €
– Appartement 4 pièces 80m² 535 000 €
– Appartement 5 pièces 125m² 820 000 €
– Loft 5 pièces 139m² 769 000 €.

Leur livraison est programmée au 1er trimestre 2019.

Info Anje34 et Edouard Paris

Le blog Tramwaydemontpellier.net se porte plutôt bien. 8122 visiteurs uniques ont été dénombrés au mois de mars 2017 contre 7221 un an plus tôt, soit une hausse de 12,47%. Plus haut score le mardi 28 mars 2017 avec 410 visiteurs uniques, le moins bon résultat ayant été enregistré le samedi 11 mars 2017 avec 265 visiteurs uniques.

Installée en fin de semaine dernière, l’imposante grue du chantier « Hôtel St-Roch – Belaroia », face au nouveau parvis de la gare de Montpellier Saint-Roch, va faire partie du paysage durant un bon bout de temps. D’ici à son démontage, la gare TGV Montpellier Sud de France aura été inaugurée et les premiers coups de pioche de la branche nord de la ligne 5 de tramway n’auront pas encore été donnés.

Info : Anje34

La rame 2048 Citadis 302 Alstom multilignes, à la livrée « La Sunny French Tech Attitude », est photographiée place Auguste-Gibert à Montpellier, le samedi 8 avril 2017. Copyright : Edouard Paris

La sortie principale de la gare de Montpellier Saint-Roch débouche sur la place Auguste-Gibert, carrefour stratégique des quatre lignes du réseau de tramways de la métropole montpelliéraine.

Ce samedi 8 avril 2017 en fin de matinée, la luminosité était parfaite pour immortaliser la rame 2048 Citadis 302 Alstom multilignes revêtue de la livrée « La Sunny French Tech Attitude ».

Cette rame circule tantôt sur la ligne 2 (photo) tantôt sur la ligne 4.

Info : Edouard Paris